Terrorisme : Un enseignant décapité pour avoir montré les caricatures de Mahomet !
Ce vendredi après-midi, un homme qui pourrait être un père d’élève a décapité un professeur d’histoire avec un couteau. Il a été abattu par la police à Eragny. Le parquet antiterroriste s’est saisi de l’enquête.
Trois semaines jour pour jour après l’attaque terroriste devant les anciens locaux de Charlie Hebdo, qui a fait deux blessés graves, un enseignant a été décapité au couteau. Le parquet national antiterroriste vient de se saisir des faits.
Ce vendredi après-midi, Samuel P., un professeur d’histoire, a été retrouvé tué et décapité près d’un collège à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) vers 17 heures, indiquent des sources policières au Parisien-Aujourd’hui en France.
Cette découverte a été faite par les policiers de BAC (brigade anticriminalité) de Conflans alors qu’ils avaient repéré un peu plus tôt un suspect détenteur d’un couteau de cuisine. Il semble que le suspect avait pris la fuite, en direction de la commune voisine d’Eragny (Val-d’Oise). Après avoir été mis à terre, les fonctionnaires ont intimé à l’assaillant de déposer son arme. Ce qu’il a refusé et s’est montré très agressif. Le suspect a été abattu et a été déclaré décédé.
La victime avait montré les caricatures de Mahomet
L’assaillant serait de nationalité algérienne, né en 1972. Actuellement, les enquêteurs de la police judiciaire effectuent les constatations sur les lieux. Auparavant, des démineurs avaient réalisé une levée de doute sur l’existence d’engin explosif sur le corps de l’assaillant.
Selon les premiers éléments d’enquête, la victime décapitée serait un professeur d’histoire au collège de Conflans-Saint-Honorine et l’auteur un parent d’élève. Les magistrats du parquet national antiterroriste, dont le procureur Jean-François Ricard, se sont déplacés sur les lieux et se sont saisis de l’enquête ouverte pour « assassinat en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs terroriste criminelle ». Les investigations ont été confiées à la sous-direction antiterroriste (Sdat) et la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).
D’après nos informations, la victime avait récemment donné un cours à ses élèves sur la liberté d’expression et avait montré les caricatures de Mahomet.
Source : LeParisien.fr / Image : Actu17.fr
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La liberté d’opinion et d’expression est l’une des premières libertés politiques et plus généralement des libertés fondamentales.
Dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, elle apparaît comme la première des libertés, la liberté y étant le premier des quatre droits de l’homme.
L’enseignant S-P à été assassiné par un islamiste pour avoir montrer des caricatures de Mahomet en cour d’histoire !!!
Que devrions-nous dire, nous chrétiens qui en 1981 un attentat avait été commis contre sa sainteté Jean-Paul ii le Pape par un protagoniste Islamiste !!!
Inversons la situation, demain le grand recteur de la mosquée de paris serait assassiner par un chrétiens…après-ventes, quelle attitude aurait les musulmans de France !!!
Suite à l’assassinat du professeur d’histoire et du discours du président de la république pour défendre nos valeurs françaises, certains pays musulmans appellent au boycott de nos produits et ne point assurer la sécurité de nos compatriotes à l’étranger.
Certains d’entre eux plus récalcitrants que jamais , lancent des appels à manifester contre la France dans des termes haineux !!!
Pauvres ignare des temps anciens…..Alors que certains musulmans sont incapables de faire riposte aux lois de chez eux (la trique et le fouet), ils s’indignent des propos de la réponse de Macron !!!
Bref, Je ne crains que nous sommes proches d’une GUERRE CIVILE et qu’on ne pourra pas éviter de faire respecter l’ordre et la loi que par la force avec bien sur ; des dommages collatéraux (associations-partis de gauche et coco)
C’était le 26 juin 2015. Un chef d’entreprise, Hervé Cornara, était décapité par son salarié, Yassin Sahli, qui accrochait sa tête aux grilles d’une usine, avec des banderoles de l’État islamique. Il y avait eu la volonté de l’ensemble des médias et de la classe politique de minorer la gravité d’un tel acte.
Nous avions organisé un rassemblement, place de la Bourse, le 30 juin.
Les médias avaient totalement boycotté cette initiative, et nous n’étions que 150 à rendre hommage à toutes les victimes de l’islam. Deux journalistes se distingueront particulièrement, David Perrotin, qui se vantera d’avoir téléphoné tout l’après-midi pour demander l’interdiction du rassemblement, et Julien Martin, du Nouvel Observateur, qui, lui, demandera carrément aux policiers de m’arrêter !
« La liberté d’information (FOI) … est inhérente au droit fondamental à la liberté d’expression, tel qu’il est reconnu par la Résolution 59 de l’Assemblée générale des Nations Unies adoptée en 1946, ainsi que par les Articles 19 et 30 de la Déclaration universelle des droits de l’homme (1948), qui déclarent que le droit fondamental à la liberté d’expression englobe la liberté de « chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit ».
Nerval 5/5…..Il y a chez nous trop de Babaous inutiles qui croient bon, de jeter de temps en temps des fleurs à pierre, jacques et Paul…ils oublient qu’ils ne sont que des minables , responsables de l’état lamentable et actuel de la France…