Méditerranée orientale : Tensions entre Grèce et Turquie sur fond de réserves gazières
Méditerranée orientale. Ankara accuse Athènes d’armer une île démilitarisée
L’escalade de tensions continue entre la Grèce et la Turquie : Ankara accuse Athènes d’armer une île démilitarisée. Les deux pays se disputent le partage des eaux mais aussi, et surtout, la recherche d’hydrocarbures.
La Turquie a accusé lundi la Grèce d’actes de « piraterie » en essayant d’ « armer » une île démilitarisée située à proximité du littoral turc dont le statut est au cœur des tensions actuelles en Méditerranée orientale.
Dans un contexte d’escalade entre la Turquie et la Grèce, la publication la semaine dernière de photos par l’AFP montrant des militaires grecs arrivant sur l’île grecque de Kastellorizo, située à deux kilomètres des côtes turques, a suscité l’ire d’Ankara.
« Les initiatives grecques visant à armer Meis (nom turc de Kastellorizo) sont un nouvel exemple de piraterie », a déclaré lundi Omer Celik, le porte-parole du parti islamo-conservateur AKP du président Recep Tayyip Erdogan.
Diriger des armes vers le littoral turc…
« Diriger des armes vers le littoral turc, c’est une sottise », a-t-il ajouté sur Twitter.
Dimanche, le ministère turc des Affaires étrangères avait qualifié l’arrivée de militaires grecs à Kastellorizo de « provocation », dénonçant une violation de son statut d’île démilitarisée fixé par un traité datant de 1947.
« Nous rejetons les tentatives illégitimes visant à modifier le statut de cette île », avait déclaré le ministère dans un communiqué.
L’île de Kastellorizo, source de la discorde
Vendredi, l’AFP a publié des photos montrant l’arrivée de militaires grecs armés à Kastellorizo. Ces images ont été largement reprises par les médias turcs.
Selon un responsable grec, des militaires étaient déjà présents sur l’île avant cette date et l’arrivée des soldats vendredi s’inscrivait dans le cadre d’une rotation des effectifs.
L’île de Kastellorizo est l’un des principaux points de discorde entre la Turquie et la Grèce dans leur dispute concernant le partage des immenses réserves gazières découvertes ces dernières années en Méditerranée orientale.
Athènes soutient que le droit d’exploiter les ressources naturelles autour de cette île lui appartient. Mais Ankara refuse, estimant que cela reviendrait à priver la Turquie de dizaines de milliers de km2 de mer et à l' »emprisonner à l’intérieur de ses côtes ».
L’escalade des tensions actuelle a d’ailleurs été déclenchée par le déploiement d’un navire de recherche sismique turc dans des eaux revendiquées par Athènes au sud de Kastellorizo, le 10 août.
Affichant son inflexibilité en dépit des menaces de sanctions européennes, la Turquie a plusieurs fois prolongé la mission de son navire de recherche, l’Oruç Reis.
Source : Ouest-france.fr - AFP / Image : tribune.gr
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La France ne devrait pas sous-estimer la Turquie qui à le soutien du monde arabe et La Grèce n’a pas les moyens militaires pour crée des tensions avec la Turquie…elle lance un SOS à la France qui fait partie de l’U …qui plus est ; compte 27 pays….
Que font les autres ? Alors que nos hommes sont en Afrique et au Liban pour subvenir aux besoins des libanais….400 de nos hommes sont sur place …combien cela nous coutent par jours ?
Combien vont nous couter les 6000 universitaires algériens qui vont venir en France aux frais de la princesse et qui ne repartirons plus !!!
On va encore dépenser tout notre argent pour les autres alors que l’endettement de la France est au bord de la catastrophe nationale.
Souhaitons que la Turquie ne dispose jamais de l’arme nucléaire…..sinon nous quitterions fissa les eaux méditerranéennes…….
Vivement qu’un militaire prenne la direction du pays.
en attente de modération….et merde.
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La politique dénonce le pourrissement du système…mais elle est issue du milieu scientifique… ..Elle devrait nous dire comment un simple énarque est devenue d’abord ministre ensuite président… ensuite le grand manitou des européens.
Je ne pense pas que ce soit avec sa belle prestance qu’il à conquis les français, je dirais que derrière lui, certains l’on propulsée au firmament du trône élyséen.
Un système qui rapporte gros aux bonimenteurs qui sont derrière lui et tous ceux qui l’accompagne.
Par contre aussi instruit qu’il soi, il ne devrait pas sous-estimer la Turquie qui à le soutien du monde arabe et la Grèce n’a pas les moyens militaires pour crée des tensions avec la Turquie.
Que fait ‘elle….elle lance un SOS à la France qui fait partie de l’Union Européenne …qui plus est ; compte 27 pays….
Que font les autres du groupe des 27 ? ben ils glandent…..Alors que nos hommes sont en Afrique et au Liban pour subvenir aux besoins des libanais….400 de nos hommes sont sur place …combien cela nous coutent par jours ?
Combien vont nous couter les 6000 universitaires algériens qui vont venir en France aux frais de la princesse et qui ne repartirons plus !!!
On va encore dépenser tout notre argent pour les autres alors que l’endettement de la France est au bord de la catastrophe nationale.
Souhaitons que la Turquie ne dispose jamais de l’arme nucléaire…..sinon nous quitterions fissa les eaux méditerranéennes…….
Vivement qu’un militaire prenne la direction du pays.
Depuis le temps que la Turquie défie les européens ….ça risque de mal se terminer……
La politique dénonce le pourrissement du système…mais elle est issue du milieu scientifique… ..Elle devrait nous dire comment un simple énarque est devenue d’abord ministre ensuite président… ensuite le grand manitou des européens.
Je ne pense pas que ce soit avec sa belle prestance qu’il à conquis les français, je dirais que derrière lui, certains l’on propulsée au firmament du trône élyséen.
Un système qui rapporte gros aux bonimenteurs qui sont derrière lui et tous ceux qui l’accompagne.
ben s’il souhaite la guerre, en bon chef des armées qu’il passe devant.