Commémoration : A l’occasion du jour de deuil national Allemand…

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Commémoration : A l’occasion du jour de deuil national Allemand…

14 novembre 2021, Jour de Deuil national allemand

Sous le haut patronage de S.E. Dr Hans-Dieter LUCAS, Ambassadeur de la République fédérale d’Allemagne à Paris,
La FNCV était, comme à l’accoutumée, accueillie par le chef de la délégation Allemande en France le colonel Jorg NEUREUTHER au cimetière militaire allemand de SOLERS en ce dimanche 14 novembre 2021.

Lieu de recueillement dédié à la commémoration des victimes des guerres mondiales, il abrite 2228 tombes de soldats allemands.

La section 7700 entretien depuis longtemps ce lien de fraternité.

De jeunes collégiens y ont lu en français et en allemand des textes choisis ou créés par leur soin pour perpétuer ce message de paix et mémoriel.

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Commémorations du 11-Novembre : Armistice de 1918, hommage à Hubert Germain, discours pour les Compagnons de la Libération…

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Commémorations du 11-Novembre : Armistice de 1918, hommage à Hubert Germain, discours pour les Compagnons de la Libération…

Les cérémonies du 11 novembre et l’hommage à Hubert Germain présidés par Emmanuel Macron

Le chef de l’Etat préside jeudi les commémorations de l’armistice de 1918, qui a marqué la fin de la Première Guerre mondiale.

Armistice de 1918

A l’occasion du 103e anniversaire de l’armistice de 1918, Emmanuel Macron fleurira, comme le veut la tradition, la tombe du Soldat inconnu, sous l’arc de Triomphe. Il rendra ensuite un nouvel hommage national à Hubert Germain, dernier compagnon de la Libération, mort le 12 octobre. Suivez en direct l’édition spéciale de France 2, dès 10 heures, présentée par Julian Bugier, accompagné de Nathalie Saint-Cricq et de Pierre Servent, spécialiste des questions militaires.

Dernier hommage à Hubert Germain. Le transfert du cercueil du dernier compagnon de la Libération jusqu’à l’arc de Triomphe se fera jeudi matin à bord d’un char blindé AMX-10 baptisé « Bir Hakeim ». Le convoi funèbre s’arrêtera au pied des Champs-Elysées pour un temps de recueillement devant la statue du Général de Gaulle, à la demande d’Hubert Germain lui-même. Il reposera enfin dans la crypte du mémorial de la France combattante, au Mont-Valérien.

Les Compagnons de la Libération

Un discours pour les compagnons de la Libération. Le président de la République débutera la cérémonie du 11-Novembre par un dépôt de gerbe devant la statue de Georges Clemenceau, avant la traditionnelle remontée des Champs-Elysées jusqu’à l’arc de Triomphe. A 11h30, il déposera une deuxième gerbe devant la tombe du Soldat inconnu, avant d’en raviver la flamme, puis il prononcera un discours en hommage aux compagnons de la Libération. Le chef de l’Etat présidera ensuite à 14h30 l’inhumation d’Hubert Germain.

Kamala Harris présente aux côtés d’Emmanuel Macron. En visite à Paris depuis mardi, la vice-présidente américaine s’est rendue mercredi après-midi avec son époux Doug Emhoff au cimetière militaire américain de Suresnes, où reposent 1 565 Américains. Ce lieu symbolise aux yeux de la Maison Blanche les « valeurs communes » des deux pays alliés. Kamala Harris doit assister à la cérémonie de l’armistice aux côtés du président français.

Les « Poilus » à l’honneur

Ce jeudi 11 novembre, de nombreux hommages aux soldats morts pour la France lors de la Première Guerre mondiale seront programmés auprès des quelque 30 000 monuments aux morts édifiés dans les villes et villages français. A 11 heures précises, heure à laquelle les combats ont été suspendus en 1918, les cloches sonneront dans tous les villages de France.

Source francetvinfo.fr – France Télévisions / Photo : (YOAN VALAT / AFP) « Paris désert, le 11 novembre 2020 »

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Ravivage de la Flamme de l’Arc de Triomphe

Comme chaque année lors de son troisième conseil d’administration, La FNCV a ravivé la flamme sous l’arc de Triomphe. À cette occasion, les jeunes ont de nouveau été mis à l’honneur. La directrice de l’Onac-vg nous a fait l’honneur de sa présence.

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Transition énergétique : Les Armées à l’heure de l’écologie et de la réduction des gaz à effets de serre…

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Transition énergétique : Les Armées à l’heure de l’écologie et de la réduction des gaz à effets de serre…

A l’heure de Conférence sur le Climat, la COP 26 à Glasgow, la ministre des Armées annonce un plan d’économie énergétique à Mourmelon…

= COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU MINISTÈRE DES ARMÉES =

Florence Parly, ministre des Armées, lance un projet de transition énergétique ambitieux sur le camp militaire de Mourmelon.

Florence Parly, ministre des Armées, s’est rendue le 5 novembre 2021 au camp militaire de Mourmelon pour lancer le contrat de performance énergétique du site. Ce contrat s’inscrit dans le cadre de la stratégie énergétique de défense qui a pleinement engagé le ministère des Armées dans la transition énergétique.

Les chiffres clés de ce contrat de performance énergétique du camp militaire de Mourmelon :

  • Un investissement de 86 millions d’euros pour une durée d’exploitation de 20 ans
  • 38 millions d’euros de financement grâce au Plan France Relance
  • 44% d’économies d’énergie attendues
  • 92% des émissions de gaz à effets de serre en moins
  • 80% des énergies d’origine renouvelable
  • 1 centrale à charbon supprimée
  • 190 000 m² de surfaces chauffées du camp couvertes par ce nouveau contrat de performance énergétique
  • 218 bâtiments concernés, dont 57 feront l’objet d’actions de rénovation significatives

La stratégie énergétique de défense, dont le contrat de performance énergétique de Mourmelon est un exemple significatif, participe à l’objectif de la France d’atteindre la neutralité carbone à horizon 2050.

Des objectifs ambitieux en matière de réduction et décarbonation

Le ministère des Armées s’est fixé des objectifs ambitieux en matière de réduction et décarbonation des consommations énergétiques de son parc immobilier, inscrits depuis septembre 2020 dans la stratégie énergétique de défense. Le ministère a engagé des efforts sur les trois leviers de la performance énergétique : la sobriété des usages pour réduire les besoins énergétiques au plus juste, l’efficacité énergétique pour répondre à ces besoins de la manière la plus performante, et le recours aux énergies renouvelables.

Les Contrats de Performance Énergétique (CPE) permettent de travailler simultanément sur ces trois leviers, dans une approche de performance ayant fait ses preuves pour plusieurs sites du ministère depuis une décennie. Il garantit un intérêt direct des entreprises à l’atteinte des résultats en matière de performance grâce à un système de bonus/malus liés à l’atteinte des objectifs fixés sur la base de la conception et des solutions techniques qu’elles ont elles-mêmes proposées.

Un contrat de performance énergétique

Le ministère a choisi de déployer un contrat de performance énergétique sur le site de Mourmelon, compte tenu de l’envergure de l’emprise, qui accueille en moyenne 4 100 personnes par jour dont 3 100 permanents issus de 12 organismes différents (notamment le 8e RMAT, le 501e RCC, le CAPCIA-5e RI et l’EM du COME2CIA).

Le CPE de Mourmelon représente un investissement de 86 millions d’euros sur 20 ans. Il a été attribué au groupement mené par GTM-Hallé, filiale du groupe Vinci, mandataire, accompagné de SOGEA Est pour les réseaux et voiries, de ENGIE pour les lots techniques, l’exploitation, la maintenance et le management de l’énergie, de S2T pour la maîtrise d’œuvre technique, de MOON SAFARI pour la maîtrise d’œuvre de conception et de ACCOR et Archi pour la maîtrise d’œuvre d’exécution.

Il prévoit notamment la suppression d’une des dernières centrales à charbon du ministère des Armées, remplacée par une solution couplant biomasse et gaz, l’isolation de 57 bâtiments, l’amélioration des systèmes de distribution de chaleur par sa restructuration et son extension, l’installation de systèmes de régulation et de supervision. Ces actions d’investissement sur l’infrastructure seront couplées à des démarches de sensibilisation des occupants aux économies d’énergie.

Ce contrat contribue également directement à l’économie du territoire grâce aux emplois induits par les travaux et l’exploitation. Le groupement s’est par ailleurs engagé à mobiliser 49 000 heures d’insertion professionnelle sur la durée du marché, en lien avec les acteurs locaux.

L’investissement des 3 premières années est financé grâce au plan de relance. Ces 38 millions d’euros représentent 18% des 207 millions d’euros d’investissement retenus pour le ministère des Armées, dans le cadre du plan de relance, au titre de la rénovation énergétique des bâtiments de l’Etat. Au total, ce sont en effet 702 projets du ministère qui sont ainsi financés par le plan de relance, ce qui représente un volume de 1300 marchés engagés dans l’année. A ce jour, 508 d’entre eux (72%) ont fait l’objet d’une notification de travaux.

Source : Centre media du ministère des Armées – dicod.fr / Photo :

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Coronavirus : Doutes sur l’origine du virus… La main de l’homme ?

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Coronavirus : Doutes sur l’origine du virus… La main de l’homme ?

Origine du coronavirus : bientôt la fin du mystère ?

L’essentiel L’origine du coronavirus SARS-Cov-2 est capitale pour comprendre son fonctionnement et se préparer à d’autres épidémies dans les années à venir. Après la thèse de l’origine naturelle, celle d’un accident de laboratoire (ndlr: P4 de Wuhan) – hypothèse longtemps écartée– semble de plus en plus probable.

Connaîtra-t-on un jour l’origine exacte du coronavirus SARS-Cov 2 apparu à Wuhan, en Chine, fin 2019 ? Saura-t-on si la pandémie, qui a fait au moins 5 millions de morts selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et mis à genoux l’économie mondiale, était d’origine animale ou la conséquence d’un accident de laboratoire ? Laquelle de ces deux thèses est dans le vrai ? Le mystère demeure.

Depuis l’apparition de ce redoutable virus et son cortège de variants, la vérité sur la réalité de l’épidémie a été malmenée de toutes parts et, parfois, sciemment cachée. Pour ne pas déplaire au pouvoir central, les médecins lanceurs d’alerte de Wuhan ont été, dès le départ, sommés de se taire, les autorités locales de la région du Hubei n’ont pas alerté Pékin, retardant la prise en compte de l’épidémie par la Chine comme par l’OMS. Et une fois informée de la réalité de cette épidémie aux contaminations exponentielles, l’administration de Xi Jinping a sciemment menti en minimisant les chiffres. Car l’épidémie dépassait le cadre sanitaire et recouvrait des enjeux géopolitiques et économiques.

Rapport d’experts de l’OMS controversé

À ces dissimulations se sont ajoutées fake news et thèses complotistes. En plein bras de fer commercial avec la Chine, Donald Trump prenait ainsi un malin plaisir à parler du « virus chinois » tout en ne faisant rien pour freiner sa propagation mortelle une fois qu’il avait atteint les Etats-Unis. Et alors que les services de renseignements américains déclaraient que l’origine du virus était animale, Trump assurait avoir vu des preuves liant le Covid-19 à un laboratoire de Wuhan, le fameux laboratoire P4 créé en 2018 avec la France dans la capitale mondiale de la recherche sur les coronavirus.

La thèse de l’accident de laboratoire est alors violemment contestée par la communauté scientifique et notamment par 27 chercheurs qui signent le 9 février 2020 dans la revue scientifique de référence The Lancet une tribune pour fustiger le complotisme et assurer que le virus avait une origine animale.

Pourtant au fil des mois, la thèse de la zoonose – le passage d’un virus baptisé RaTG13 de la chauve-souris à l’homme via un intermédiaire qu’on pensait être le pangolin – va s’effriter, minée par les zones d’ombre et les révélations sur Peter Daszak, le « chasseur de virus » auteur de la tribune et soupçonné de conflits d’intérêts depuis que ses liens avec le laboratoire de Wuhan ont été révélés…

Les mineurs du Yunan en 2013

L’accident de laboratoire redevient plausible et les chercheurs qui passaient pour des illuminés pour avoir émis ne serait-ce que des doutes sont alors davantage écoutés. Le rapport d’experts de l’OMS et de scientifiques chinois, publié le 30 mars 2021, suscite la controverse en ne retenant que la thèse de la contamination animale et conduit le patron de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, à réclamer une étude approfondie sur la thèse de l’accident de laboratoire qui est alors à peine évoquée.

Mais pour travailler sérieusement sur cette piste, encore faudrait-il disposer de données. Le conseiller médical de la Maison Blanche Anthony Fauci avait exhorté Pékin à communiquer des données médicales précises. Celles de mineurs qui avaient contracté en 2013 des syndromes respiratoires dans une mine du Yunan, à quelque 1 800 kilomètres de Wuhan. Et celles des chercheurs de l’Institut de Wuhan qui auraient contracté des symptômes compatibles avec le Covid-19 en novembre 2019, un mois avant le début officiel de l’épidémie et après avoir visité une grotte de chauve-souris. Las ! La Chine n’a jamais transmis ces données.

Y a-t-il eu la main de l’homme ?

Si un accident survenu dans le laboratoire – dont des failles de sécurité avaient éveillé l’attention des autorités américaines début 2018 – a pris de la consistance, il reste encore beaucoup de questions sans réponses. Le Sars-Cov-2 d’origine naturelle et s’est-il accidentellement échappé du laboratoire de Wuhan où il était stocké ? Est-il devenu transmissible à l’homme après un « gain de fonction » consécutif à sa mise en culture ? Ou est-il une « chimère » entièrement fabriquée en laboratoire à partir d’un autre virus ?

Il est pourtant capital de connaître l’origine du coronavirus pour pouvoir anticiper. Car d’autres épidémies verront le jour dans les années et les décennies à venir, il n’y a hélas aucun mystère là-dessus.

Source : Ladepeche.fr / Photo : AFP « Laboratoire P4 Wuhan. AFP »

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Armement : Enjeux technologiques et industriels des réacteurs nucléaires du futur porte-avions

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Armement : Enjeux technologiques et industriels des réacteurs nucléaires du futur porte-avions

La conception des réacteurs nucléaires du futur porte-avions « soulève des enjeux technologiques et industriels importants »

Actuellement, la propulsion du porte-avions Charles de Gaulle et des quatre sous-marins nucléaires lanceurs d’engins [SNLE] de la classe « Le Triomphant » repose sur le réacteur nucléaire K-15, d’une puissance d’environ 150 mégawatts thermiques. Et une version améliorée de ce modèle a été retenue pour les sous-marins nucléaires d’attaque [SNA] de la classe « Suffren » et les futurs SNLE3G.

Seulement, si deux réacteurs K-15 sont suffisants pour permettre au porte-avions Charles de Gaulle de naviguer à la vitesse de 27 noeuds, ce ne sera pas le cas pour son successeur, qui affichera un déplacement de l’ordre de 75’000 tonnes. En outre, ce dernier aura des besoins en énergie beaucoup plus importants, notamment pour faire fonctionner les catapultes électromagnétiques [EMAL] dont il sera équipé. D’où la nécessité de mettre au point un nouveau type de chaufferie nucléaire, à savoir la K-22, laquelle aura une puissance de 220 à 230 mégawatts.

Évoquant ce sujet lors d’une audition parlementaire, en 2019, François Geleznikoff, alors directeur des applications militaires [DAM] du Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies renouvelables [CEA], avait assuré que les chaufferies K-22 « restent dans un domaine pas trop éloigné des K-15 » et leur « conception peut être maîtrisée avec les moyens de simulation actuels et la technologie disponible ». Et d’insister : « Il n’y a donc pas de saut dans l’inconnu. Ce projet est ainsi l’occasion de concevoir une nouvelle chaufferie compacte tout en tenant les délais ».

Mais pas seulement… Car le développement du réacteur K-22 est aussi une affaire de maintien des compétences… C’est en effet ce qu’a soutenu Vincenzo Salvetti, l’actuel patron de la DAM, en juin dernier. Selon lui, le choix de la propulsion pour le porte-avions de nouvelle génération [PA-NG] traduit la « volonté de maintenir les compétences de la filière de la propulsion nucléaire ». Et, selon son point de vue, partagé « par beaucoup » selon lui, ce maintien des savoir-faire est « important moins pour le porte-avions que pour les sous-marins nucléaires lanceurs d’engins, car c’est la propulsion nucléaire qui permet leur invulnérabilité, leur dilution dans l’océan pendant plusieurs dizaines de jours sans remonter à la surface ».

En tout cas, ce point de vue est celui du député Christophe Lejeune, rapporteur pour avis sur les crédits alloués à la dissuasion dans le projet de loi de finances 2022. « Le choix d’équiper le PA-NG d’une chaufferie nucléaire a permis de répondre à une inquiétude du secteur, qui craignait notamment qu’en l’absence d’un troisième programme de conception, la fin du programme Barracuda et de l’activité du SNLE conduisent TechnicAtome – malgré le programme SNLE 3G – à voir ses effectifs passer sous la ligne de flottaison », a-t-il fait observer.

Pour rappel, il fut temps envisagé de construire deux nouveaux porte-avions à propulsion classique. Selon un rapport parlementaire publié en octobre 2019, la Marine nationale privilégiait alors, par ordre de préférence, « deux porte-avions nucléaires, deux porte-avions à propulsion classique, un porte-avions nucléaire, un porte-avions à propulsion classique ».

Quoi qu’il en soit, la mise au point de la chaufferie K-22 va s’avérer « complexe », au point de « mobiliser autour de 300 personnels », rappelle M. Lejeune. Et elle « soulève des enjeux technologiques et industriels importants : cœur plus gros, doublement du nombre de mécanismes, impact sur la mécanique des fluides », a-t-il fait observer, sans donner plus de précisions.

Comme l’a déjà précisé Loïc Rocard, le Pdg de TechnicAtome, le K-22 sera le « plus gros réacteur compact » qui sera réalisé par son groupe. « Le défi technique est similaire à celui posé dans les années 1980 lorsqu’on a changé de classe de sous-marins, en passant de la classe des Rubis à celle des Triomphant, équipés de la chaufferie K15 », avait-il expliqué dans un entretien donné au quotidien Les Échos. Et le tout dans des contraintes de temps : l’avant-projet doit être terminé d’ici 2023/24 afin de pouvoir lancer la réalisation à partir de 2026, le lancement du PA-NG étant prévu, au mieux, pour 2036.

Source : Zonemilitaire.fr – Laurent Lagneau / Image (c) TechnicAtome

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