Bleuet de France : La FNCV soutient leur action

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Bleuet de France : La FNCV soutient leur action

La FNCV soutient le Bleuet de France

Compte tenu des mesures gouvernementales relatives au confinement, les cérémonies du 8 mai se feront sans public donc les collectes sur la voie publique sont annulées pour la campagne d’appel aux dons du 8 mai 2021.

Chaque année, le Bleuet de France consacre plusieurs centaines de milliers d’euros :

  • aux pupilles de la Nation (enfant de moins de 21 ans adopté par la Nation à la suite du décès ou de la blessure d’un parent lors d’un acte de terrorisme, lors d’une mission OPEX ou enfant de policier ou de gendarme blessé ou tué en mission),
  • aux victimes d’actes de terrorisme,
  • aux soldats blessés en opération extérieure (OPEX),
  • au maintien à domicile des ressortissants les plus âgés en situation de dépendance et à l’amélioration des conditions de séjour des anciens combattants dans les maisons de retraite labellisées Bleuet de France,
  • À titre d’exemple, il prend en charge le financement d’études supérieures pour certains pupilles de la Nation, le financement d’équipements pour les militaires blessés devenus sportifs de haut niveau, ou propose encore un accompagnement psychologique aux victimes d’actes de terrorisme et à leurs familles.

Cette année, le Bleuet portera également un projet lié aux maisons ATHOS, programme de prise en charge des blessés de l’armée de Terre, en contribuant à l’achat d’un voilier.

Amarré au port de Toulon, il permettra d’accueillir des blessés, et à terme des veuves, pupilles de la Nation, et victimes d’actes de terrorisme, pour des stages de reconstruction et d’accompagnement.

  • Vous pouvez également encourager le partage de cette vidéo #jesoutienslebleuet
  • Vous pouvez si vous le souhaitez faire un don directement sur le site de l’ONACVG pour soutenir leur action.

     » Je fais un don au Bleuet de France…

 

Source : LP – FNCV Facebook / Photo : ONAC Bleuet de France

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Avignon : Un policier tué par balle au cours d’une opération anti-drogue

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Avignon : Un policier tué par balle au cours d’une opération anti-drogue

Un policier tué par balle à Avignon lors d’une opération antidrogue

Un policier a succombé à ses blessures après s’être fait tirer dessus dans le centre-ville d’Avignon, dans le Vaucluse, ce mercredi. L’auteur présumé des tirs est « en fuite ».

Selon les premiers éléments, vers 18 h 30, le policier décédé et son équipage ont été requis « pour des perturbateurs en centre-ville à proximité d’un point de deal », a expliqué une source policière. A leur arrivée, ils « auraient constaté une transaction » et « tenté d’interpeller plusieurs individus se livrant à la revente de stupéfiants », a-t-elle ajouté.

L’auteur des tirs en fuite

Un homme a alors « fait feu à plusieurs reprises » sur le policier, a encore dit cette source. L’auteur présumé des tirs est « en fuite », a-t-elle précisé.

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin est attendu sur place dans la soirée.

Selon le quotidien local « le Dauphiné libéré », le policier était âgé d’une trentaine d’années. Selon nos confrères de « La Provence », les tirs ont eu lieu à proximité de la place Pie.

« Tout est mis en œuvre pour que cet acte odieux ne reste pas impuni », a assuré Jean Castex, le Premier ministre.

Source : nouvelobs.comr – AFP / photo : ledauphine.com

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Egypte : Confirmation de l’achat de 30 avions de combat Rafale à la France

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Egypte : Confirmation de l’achat de 30 avions de combat Rafale à la France

 L’Égypte officialise sa commande de 30 Rafale à la France

Après des années de disette, le fleuron de l’aéronautique de défense française voit les contrats se multiplier. L’Égypte vient de commander 30 avions de combat.

Le Rafale prend (enfin) son envol commercial. L’Égypte a confirmé avoir signé avec la France un contrat pour l’achat de trente avions de combat Rafale supplémentaires de la société Dassault, dans un communiqué de l’armée publié dans la nuit du lundi au mardi 4 mai 2021. « L’Égypte et la France ont signé un contrat de fourniture de 30 avions Rafale », a indiqué le communiqué égyptien quelques heures après la révélation de ce contrat par le média d’investigation français Disclose. Le communiqué précise que l’achat se fera via un prêt sur dix ans.

Le ministère français des Armées s’est réjoui de cette commande, qui « renforce encore le partenariat stratégique et militaire entre la France et l’Égypte ». « Ce contrat illustre le caractère stratégique du partenariat que la France entretient avec l’Égypte alors que nos deux pays sont engagés résolument dans la lutte contre le terrorisme et œuvrent à la stabilité dans leur environnement régional », affirme dans un communiqué le ministère dirigé par Florence Parly.

Cette commande marque un nouveau succès à l’export pour le fleuron de l’aéronautique de défense française, qui, après de longues années de disette, voit les contrats se multiplier. Le montant de la transaction avec l’Égypte s’élève à 3,95 milliards d’euros, dont 200 millions pour les armements, selon le média d’investigation Disclose. Né de la volonté de trouver un remplaçant aux Mirage 2 000 français et aux Tornado britanniques, italiens et allemands, le démonstrateur Rafale A a accompli son premier vol en 1986. Il est utilisé par la marine française depuis 2004 et l’armée de l’air depuis 2006 et a remplacé sept types d’avions de combat de générations précédentes. Mais il a longtemps eu du mal à s’exporter. Plusieurs prospects, notamment aux Émirats arabes unis, au Maroc et au Brésil, n’ont pas donné suite.

Onze ans d’attente

« On a le meilleur avion du monde, le Rafale, et on a un bon système d’armes, on a des discussions en cours, ça va venir », assurait en 2011 Serge Dassault, l’ancien PDG du constructeur Dassault Aviation décédé en mai 2018. Son utilisation au combat à partir de 2007 en Afghanistan, puis en Libye en 2011, au Sahel depuis 2013 et au Levant a concouru à sa promotion internationale. Il a fallu attendre onze ans après son entrée en service pour qu’il trouve preneur à l’étranger. Déjà avec l’Égypte, en février 2015, qui avait passé un contrat pour 24 appareils, assorti d’une option pour 12 Rafale supplémentaires qui n’avait pas été exercée.

Depuis, l’avion de chasse a été vendu à 114 exemplaires, sans compter la nouvelle commande égyptienne. En 2015, trois mois après l’Égypte, le Qatar commandait à son tour 24 exemplaires, puis 12 de plus en décembre 2017. En 2016, l’Inde en a acheté 36 exemplaires, qui ont commencé à être livrés en 2020.

2021, année faste

Le Rafale a également fini par être vendu en janvier à un pays membre de l’Otan : confrontée à des tensions avec son voisin turc, la Grèce a en quelques mois pris la décision, concrétisée en janvier, d’en acquérir 18, dont 12 d’occasion. Une satisfaction pour Paris qui veut réorienter ses exportations d’armement vers l’Europe. Et les prochains mois pourraient être fastes, espère Dassault : le Rafale est en compétition en Suisse (36 à 40 avions), en Finlande (jusqu’à 64 appareils), en Croatie (12 appareils d’occasion qui seraient prélevés sur le parc de l’armée de l’air française). Les Émirats arabes unis et l’Indonésie (36 appareils) s’intéressent également à l’avion.

En Inde, Dassault Aviation espère remporter des appels d’offres pour 110 Rafale pour l’Indian Air Force et 57 pour la marine. Une possible nouvelle commande de 36 Rafale par New Delhi est également régulièrement évoquée dans la presse indienne. Un précédent appel d’offres avait été interrompu et transformé en un accord en direct avec Paris en 2016 pour fournir 36 Rafale.

Un avion de combat complet

Capable de mener différentes missions au cours d’un même vol, le Rafale est qualifié pour des opérations de défense aérienne, de bombardement stratégique et d’appui au sol, de lutte anti-navire et de reconnaissance aérienne. Il est également le vecteur de la dissuasion nucléaire aéroportée française. L’appareil de 10 tonnes est le seul à pouvoir emporter 1,5 fois son poids en armement et carburant.

Sur le plan de l’armement, il dispose d’un système polyvalent : canon de 30 mm, missiles air-air, bombes guidées laser et missiles de croisière. Sa dernière version, le F3R, lui permet notamment d’emporter le missile air-air à longue portée Meteor, dont les capacités offrent un argument commercial supplémentaire pour le Rafale, observe-t-on dans le camp français.

Construit en collaboration par Dassault Aviation, qui supervise 60 % de la valeur de l’avion, l’électronicien Thales (22 %) et le motoriste Safran (18 %), qui fournit le moteur M-88, le Rafale est destiné à être l’avion de combat français jusqu’en 2040. Dassault Aviation développe actuellement le futur standard F4 du Rafale, un programme de près de 2 milliards d’euros livrable en 2024 et présenté comme un « saut technologique, industriel et stratégique ».

Source : LePoint.fr avec AFP / Phtoto : bfmtv.com

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Vaccination obligatoire : La liberté individuelle s’arrête t’elle ou commence la liberté collective?

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Vaccination obligatoire : La liberté individuelle s’arrête t’elle ou commence la liberté collective?

 Vers un « pass sanitaire » obligatoire ?


Nous sommes à la croisée des chemins « la liberté individuelle s’arrête t’elle spontanément aux portes de la liberté collective ».

Confronté à la légalité inscrite profondément dans notre République, quelle marge de manœuvre existe où bien quelles voies vont être déployées pour faire passer coûte que coûte des enjeux dits supérieurs.

Cet article de 20minutes.fr décrit très exactement la situation actuelle.

  • La stratégie qui semble s’imposer est elle la bonne ?
  • N’entrevoit on pas la aussi les enjeux économiques qui se dessinent en filigrane ?

Merci pour vos commentaires.

L.P. FNCV

 

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Coronavirus : Le pass sanitaire va-t-il nous contraindre à nous faire vacciner ?

 

L’obligation d’être vacciné contre le Covid-19 pour avoir des loisirs risque de faire pencher la balance pour les plus réticents

Si l’on a collectivement intérêt à se faire vacciner, ce n’est pas toujours le cas de façon individuelle. Le pass sanitaire vient apporter un argument supplémentaire à nos considérations personnelles.

Si cet outil vient pallier l’absence d’un élan citoyen espéré par le gouvernement, il montre aussi l’échec de ce dernier à convaincre la population via des arguments d’ordre médical.
Il faudra cependant prendre garde à ce que ce pass ne soit pas mis en place trop rapidement au risque de créer des situations non équitables entre les populations ayant pu avoir accès au vaccin et les autres, préviennent les spécialistes.

Bien que la vaccination contre le coronavirus ne soit pas obligatoire aujourd’hui en France, le pass sanitaire risque bien de devenir indispensable pour avoir de nouveau « une vie normale » et des loisirs. Ici, c’est l’Union des professionnels solidaires de l’événementiel qui réfléchit à un tel pass pour permettre l’organisation de mariage. Là, ce sont des compagnies aériennes qui envisagent de l’imposer pour pouvoir prendre l’avion. Précédemment, des représentants de la restauration y pensaient pour les clients. La piste est également envisagée par le gouvernement pour l’accès aux lieux culturels.

Si un tel pass venait à être instauré pour accéder à tous ces loisirs non essentiels, la vie des personnes non vaccinées se résumerait globalement à celle que nous vivons actuellement en confinement. Un quotidien pas terrible. Le pass serait-il finalement un moyen détourné de nous contraindre à nous vacciner sans nous y obliger ?

La balance entre le bien collectif et individuel

« Dans la logique de l’action collective, on fait toujours un calcul rationnel entre le bien commun et notre intérêt personnel, explique Caroline de Pauw, sociologue spécialiste des sujets de santé. Pour le vaccin, même si on a tout intérêt à le faire collectivement, nous n’avons pas tous intérêt à le faire individuellement. » Il existe en effet aujourd’hui une certaine peur de la population autour d’effets secondaires (pourtant rares) ou du manque de recul, qui rend les personnes ayant de faibles chances de développer des formes graves du Covid-19 moins enclines à se faire vacciner.

« Mais un pass sanitaire obligatoire pour prendre l’avion, aller à des spectacles, au restaurant ou pour organiser son mariage, c’est un levier de contrainte qui va faire pencher la balance dans laquelle se trouve d’un côté cet intérêt collectif et, de l’autre, l’intérêt personnel », poursuit la chercheuse associée au Clersé (Centre lillois d’études et de recherches sociologiques et économiques) de l’Université de Lille. Concrètement, puisque nos intérêts personnels prédominent, on ira plus facilement chercher une dose car « nous sommes dans une société plus individualisée où l’on fait ses propres choix et où les gens trouvent du sens lorsque cela va dans leur intérêt individuel ».

Une telle contrainte était-elle inévitable en France ?

C’est bien possible. En premier lieu parce que de trop nombreux Français sont encore dans la logique d’attendre de voir. « On peut avoir tendance à se dire que si tous les autres sont vaccinés, on n’aura donc pas besoin de le faire. La logique du passager clandestin », explique Bénédicte Champenois-Rousseau, sociologue spécialiste des questions de santé. Malin, sauf que cette stratégie ne marche pas si tout le monde a la même idée, ni si le seuil d’immunité collective n’est pas atteint. « Par ailleurs, il n’est pas possible d’avoir ce genre de réflexion dans notre situation puisque l’on n’envisage pas de vacciner les enfants, chez qui le virus circule beaucoup. Donc cela ne marche pas », insiste l’experte.

La sociologue met également en lumière la défiance historique des Français vis-à-vis des vaccins. « Depuis les grands scandales sanitaires des années 1980, il y a une remise en cause de la médecine malgré le fait que celle-ci ait fait énormément de progrès. Il y a également un courant antivaccin en France qui ne facilite pas la tâche. » Mais au vu de la façon dont le virus se propage aujourd’hui, pour Bénédicte Champenois-Rousseau, « à part vivre sous une cloche, se faire vacciner reste la solution la plus efficace ».

Un aveu d’échec

Est-ce donc par la contrainte et non par un élan de bienveillance vis-à-vis des populations les plus fragiles que les Français finiront tous par se faire vacciner ? Caroline de Pauw note tout de même que cette attitude citoyenne a été particulièrement visible « dans l’entourage des personnes en Ehpad ou greffées par exemple, qui ont fait volontairement la démarche de se faire vacciner pour protéger leurs proches ».

Pour l’experte, se faire vacciner sous contrainte est malgré tout « un aveu d’échec et d’impuissance du gouvernement ». « Cela signifie qu’il n’a pas réussi à convaincre la population par les autres leviers, à savoir protéger les autres ou soi-même. » La faute, selon elle, à une absence de culture vaccinale et un manque d’explications. « Les gens ne sont pas irrationnels, ils ont juste besoin que l’on réponde à leurs questions et leurs angoisses. Il faut plutôt travailler autour des freins des personnes qui refusent la vaccination. Sinon, en l’imposant, on risque d’alimenter le discours des complotistes », avertit-elle.

La question de l’éthique et de la légalité

Concernant le pass sanitaire, la question de l’éthique autour de sa mise en place est soulevée par les deux expertes. « L’éthique repose sur quatre piliers : la bienveillance, la non-malveillance, l’autonomie et l’équité, détaille Caroline de Pauw. On peut se demander si, lorsque l’on contraint les personnes, on respecte leur autonomie. » Quant à la question de l’équité, pour Bénédicte Champenois-Rousseau, « avant la mise en place de ce pass, il faudra bien sûr en étudier les modalités afin qu’il n’y ait pas de privation de chance pour certains », afin d’éviter les injustices. « Il faut que la majorité de la population ait eu accès au vaccin et ait donc eu la possibilité de l’accepter ou non. Or ce n’est pas le cas aujourd’hui. »

Pour ce qui est de la légalité, un précédent existe en matière de vaccin. Il est en effet obligatoire de faire vacciner son enfant pour l’inscrire à la crèche ou à l’école. Sur ce point, la mise en place du pass sanitaire risque donc d’être difficilement contestable.

Source : 20minutes.fr – Marie De Fournas / Photo : Challenge.ma

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Afghanistan : Retrait de l’OTAN… Un attentat fait 21 morts !

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Afghanistan : Retrait de l’OTAN… Un attentat fait 21 morts !

 Afghanistan : au moins 21 morts dans un attentat, au lendemain du début du retrait des soldats de l’OTAN

L’explosion d’une voiture piégée a visé une maison d’hôtes de Pul-i-Alam, la capitale de la province de Logar, dans l’Est, au moment de la rupture quotidienne du jeûne du ramadan.

Au moins vingt et une personnes ont été tuées et 91 blessées, vendredi 30 avril, dans l’explosion d’une voiture piégée dans l’est de l’Afghanistan, selon des sources officielles, au lendemain du début du retrait des soldats de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN). L’attentat a visé une maison d’hôtes de Pul-i-Alam, la capitale de la province de Logar, où vivaient des dizaines de personnes, dont de nombreux étudiants, au moment de la rupture quotidienne du jeûne du ramadan.

« Vingt et une personnes ont été tuées et 91 blessées », a déclaré à la presse le porte-parole du ministère de l’intérieur, Tariq Arian. Un premier bilan faisait état de cinq morts et 60 blessés.

Après vingt ans de présence en Afghanistan, un pays toujours en proie aux violences, l’OTAN a commencé jeudi le retrait des contingents de sa mission sur place. Les alliés avaient décidé à la mi-avril de commencer le retrait de leurs contingents d’ici au 1er mai.

Joe Biden veut conclure la « guerre sans fin »

Le président des Etats-Unis, Joe Biden, a argué que l’objectif de la mission avait été « rempli » et a prévu la fin du retrait des troupes américaines pour le 11 septembre, une date symbolique – les Américains et l’OTAN sont intervenus contre Al-Qaida en Afghanistan après les attentats terroristes du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis.

Les pays encore les plus engagés en Afghanistan sont les Etats-Unis (2 500 militaires), l’Allemagne (1 300), l’Italie (895), le Royaume-Uni (750) et la Turquie (600). Ces cinq pays ont déployé 6 000 des 9 592 militaires engagés par 36 Etats membres de l’OTAN.

Les talibans multiplient les attaques meurtrières contre des policiers et des militaires afghans depuis l’annonce de la fin de la mission de l’OTAN. De nombreux analystes considèrent que le départ des forces de l’Alliance atlantique pourrait plonger l’Afghanistan dans une nouvelle guerre civile ou permettre le retour au pouvoir des talibans, qui en avaient été chassés à la fin de 2001.

Source : Le Monde avec AFP / Phtoto : Nato Airbase

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